Du bien-être pour mes poissons. Et pas de nettoyage.
Retour de salon Animal Expo, j’ai fait le plein de plantes d’aquarium car elles ont un rôle majeur dans l’éco-système du « bocal ». En effet, elles absorbent le CO2, les nitrates et les phosphates (ah c’est donc cela qui pollue !) Tandis que les plantes, elles s’en nourrissent, et en absorbant ces polluants, l’eau reste claire.
Je les plante comment ?
Trois grands classiques : les Anubias à croissance lente et sans entretien, les Cryptocorynes aux feuillages colorés originaires d’Asie, et les Echinodorus d’Amérique pas fragile.
Elles sont enracinées dans un substrat à base de tourbe ou dans un bouchon de laine de roche, lestées au fond de l’aquarium par une demi-bague de plomb, un pot d’argile ou un caillou.
Je plante les variétés basses au premier plan, comme les mousses et les Cryptocorynes, les plus hautes au milieu, telles les Anubias, les Ludwigia ou les Hydrocotyles, et celles à croissance rapide au fond comme les Echinodorus. J’en rajoute ensuite au fil de mes trouvailles. Et mes poissons heureux jouent à cache-cache.
Et l’entretien ?
Pour croître et prospérer, les plantes ont besoin de lumière et d’aliments spécifiques. La lumière pour la photosynthèse, c’est-à-dire l’assimilation du CO2 dissout dans l’eau. Je n’hésite pas à ajouter des tubes lumineux dans l’aquarium. En changeant 20 % du volume d’eau chaque semaine, j’ajoute un engrais minéral.