Sain et diététique, je le consomme toute l’année frais ou congelé. L’été, je le pêche moi-même !
Le poisson, toutes les filles l’apprécient car il est bienfaisant en plus d’être léger, donc digeste et diététique. De plus, le poisson apporte entre 15 et 20 % de protéines de bonne qualité, et quasiment pas de glucides. Il fournit également de la vitamine A et D (surtout le foie de morue). Enfin, du côté des minéraux, il est riche en phosphore (pas plus que la viande), calcium, magnésium et apporte un peu de fer et de sélénium. Sa caractéristique essentielle est l’iode, un oligo-élément nécessaire à la formation des hormones thyroïdiennes régissant les processus de croissance et de renouvellement des cellules.
Gras ou maigre ?
Le poisson contient peu de matières grasses (de 0,5 à 20 % de lipides selon qu’il soit maigre, semi-gras ou gras), il est recommandé en cas de régime hypocalorique, d’autant qu’il contient moins de cholestérol que la viande (20 à 70 mg pour 100 g). Bienfaitrices, les graisses du poisson sont composées en grande partie d’acides gras polyinsaturés omega–3, qui ralentissent notamment le processus de coagulation du sang et abaissent la tension artérielle et les taux sanguins de triglycérides et de lipoprotéines. Consommer du saumon ou du thon au moins deux fois par semaine réduit le risque de maladies coronariennes, ces deux poissons contenant plus de gras polyinsaturé omega-3 que les poissons maigres comme le cabillaud, le bar, la daurade, la lotte, la sole ou la truite.
Comment le préparer ?
À la vapeur, ses vertus nutritionnelles et gastronomiques sont respectées (5 à 10 min de cuisson).
Au court-bouillon, il convient aux gros poissons (10 à 30 min de cuisson).
Au four, dans un plat ou en papillote (à 200°C pendant 10 min pour les petits poissons et jusqu’à 20-30 min pour les plus gros).
À la poêle, pour cuire rapidement les tranches et les darnes.
Au micro-ondes, dans un plat adapté et couvert (2-3 min pour les filets et 3-4 min pour les tranches).