J’ai beau respirer, je m’asphyxie. Normal, je respire du bout du nez !
Avant de me sentir encrassée de l’intérieur, je ferais mieux d’évacuer tous ces déchets gazeux qui me polluent le corps et l’esprit. Anti-stress, la véritable respiration. Si le nez est indispensable pour filtrer les impuretés, grâce aux petits cils qui tapissent l’intérieur des narines, ainsi que pour réchauffer l’air ambiant avant qu’il n’arrive à ma gorge et mes poumons, son rôle devrait s’arrêter là. Pour bien respirer, je me sers de mon ventre.
Mouvement. Je commence par vider mes poumons en expirant à fond plusieurs fois. Puis je ferme la bouche, prends de l’air par le nez et le fait transiter via le diaphragme jusqu’à mon ventre : à l’inspiration, il se gonfle et à l’expiration, il se vide, sans que je bouge les épaules. Pour mieux saisir le mouvement, je pose ma main sur mon ventre et je sens mon nombril aller toucher la colonne vertébrale (comme au yoga). Mine de rien, ça tonifie mes abdominaux, chasse les toxines et oxygène mes cellules. Je pense à le faire plusieurs fois par jour.
Mon conseil. À la maison, j’ajoute des huiles essentielles d’eucalyptus aux vertus assainissantes, les respirer purifie voire dégage mes voies respiratoires et mes sinus.