Le pire c’est la pollution intérieure. 5 conseils « verts ».
Selon une étude américaine, menée par L’Environmental Protection Agency, les substances toxiques accumulées dans les habitations peuvent être de 200 à 500 fois plus importantes qu’à l’air libre et constituent un problème majeur pour la santé !
Pour améliorer la qualité de l’air de mon sweet home :
1. Je décrète ma maison zone non-fumeur, d’autant que les fumeurs sont maintenant habitués à aller fumer dehors.
2. Je pense à ventiler ma maison, ça limitera les rhumes et grippes, et je ne surchauffe pas mon intérieur, car plus la température est élevée, plus les émanations de produits toxiques augmentent.
3. J’utilise de préférence des vaporisateurs naturels aux aérosols, qui libèrent une fine brume facilement inhalable pouvant contenir du CFC, néfaste pour la couche d’ozone.
4. Je m’entoure de plantes capables de filtrer l’air ambiant : aloès, spatiphyllum, philodendron, palmier, lierre, caoutchouc. De saison, l’anthurium originaire des Amérique Centrale et du Sud s’adapte à tous les styles. Il fleurit toute l’année et surtout il absorbe particulièrement l’ammoniaque souvent contenu dans les produits d’entretien. J’en mets une dare dare dans la cuisine !
5. Je pense à faire ramoner mon conduit de cheminée chaque année et je ventile la pièce lorsque je fais une flambée. De même, je fais vérifier une fois par an ma chaudière à gaz qui émet du monoxyde de carbone et autres polluants. Je ventile la pièce où elle se trouve.
Ah, je respire chez moi !