10 conseils pour partir en toute sérénité, moi comme lui…
C’est bien gentil de partir avec Zébulon, mais ça demande une bonne organisation et un minimum de préparatifs. Voici quelques conseils avisés donnés par Opodo, l’expert européen du voyage en ligne, pour que les vacances soit un bonheur pour tous.
Check list pour partir tranquille :
1. Check up indispensable. Une petite visite chez le vétérinaire s’impose pour établir un bilan de santé obligatoire, vérifier que tous les vaccins sont à jour, faire les traitements antiparasitaires adéquats et vermifuger l’animal. Si le tatouage est un plus en cas de perte ou de vol en France, il est obligatoire à l’étranger.
2. Assurances recommandées. Il est prudent de signaler la présence de son animal sur son lieu de vacances pour couvrir les frais en cas de dégradations. Il existe même des assurances pour les animaux qui prennent en charge les frais et les soins de ces derniers si besoin est, ainsi que des sociétés d’assistance qui s’occupent de leur rapatriement en cas de problèmes plus graves.
3. Accord préalable de rigueur. Au moment de la réservation, y compris sur Internet, s’assurer que la compagnie aérienne accepte le transport d’un animal. C’est le cas pour la plupart, mais il peut y avoir des quotas et des restrictions. Il faudra alors donner un descriptif précis de l’animal (taille, poids) et faire une demande au moment de la réservation de ses propres billets d’avion. Si cette dernière s’effectue par le biais d’une agence en ligne, contacter le service clients au préalable.
4. Voyage en cabine. Il dépend des compagnies et du poids de l’animal qui ne doit pas excéder 5 kilos en moyenne, 4kg sur Air France et 8 au maximum sur d’autres compagnies. L’animal, chien ou chat, devra alors voyager dans un bagage spécial fermé : une cage et non un sac, placée aux pieds du voyageur.
5. Voyage en soute. Les animaux dépassant ce poids voyageront en soute, dans une cage réglementaire prévue à cet effet. Celle-ci doit être suffisamment grande et confortable pour que l’animal puisse se tenir debout, se coucher, faire un tour sur lui-même. L’eau et la nourriture, doivent-être rechargeables de l'extérieur, et mises à disposition dans la cage. Pour le voyageur qui ne dispose pas d’une cage aux normes réglementaires, des caisses spéciales sont vendues directement dans les aéroports (dimensions : 75 x 48 x 58 cm, ou 100 x 52 x 75 cm.).
6. Le jour du départ. Il est nécessaire d’arriver deux heures à l’avance pour préparer l’animal et il faut également se renseigner auparavant car les nouvelles mesures de sécurité ont rendu leur transport plus restrictif. La cage doit être étiquetée « IATA Live Animal Label » et «This Way Up» sur trois faces au minimum. Si la compagnie ne les possède pas, le voyageur peut se rapprocher de la douane ou d’un transporteur.
7. Mon « cher » ami. Bien méditer avant le départ sur la nécessité de faire voyager son animal car ce n’est pas gratuit. Le prix est généralement forfaitaire pour un voyage en cabine. En soute, il peut en être de même mais sur certaines compagnies le prix est calculé comme pour un excédent bagage, et le prix, basé sur un pourcentage du prix du billet classe économique par kilo supplémentaire, peut vite s’envoler.
8. Chiens spéciaux. Les chiens-guides pour handicapés et aveugles sont en général acceptés gratuitement. Il est néanmoins important de se renseigner avant le départ pour signaler la présence de l’animal à la réservation.
9. No stress. Une fois passé le stress du début, l’animal sera aussi bien en soute, au calme et dans l’obscurité, qu’en cabine, où le bruit et la lumière engendrent une nervosité plus importante. En soute, la zone est chauffée et ventilée. On peut placer un jouet ou un tissu imprégné de l’odeur de son maître pour rassurer davantage l’animal.
10. Quarantaine. Certains pays, comme l’Australie, pratiquent la quarantaine. Dans ce cas, il est impossible de s’y rendre avec son animal pour un séjour touristique de moins de 40 jours. Les fidèles compagnons ne suivront que les maîtres qui partent s’installer plusieurs mois dans ces pays. D’autres, comme le Royaume-Uni, exigent l’implantation d’une puce indolore sous la peau de l’animal, la vaccination contre la rage et une attestation anti-puces et anti-tiques.
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