Janvier c’est le mois du blanc. Toujours plus blanc… Plus vert aussi !
Nous sommes 84 % de Français à être plus attentifs aux gestes environnementaux. Certes, je fais attention à économiser l’eau, mais il est également important de moins la polluer pour préserver les océans, lacs et rivières, et aussi dans mon propre intérêt. En effet, les détergents appelés « surfactants », une fois rejetés dans le circuit d’eau, sont dangereux pour la faune et la flore. 50 % des populations des espèces d’eaux douces ont disparu depuis 30 ans. Tandis que les produits nettoyants « verts préservent la nature en général et, plus particulièrement les tissus et matériaux, limitant les allergies, cutanées notamment, à l’inverse des lessives et autres produits issus de l’industrie pétrochimique, qui renferment des phosphates, des enzymes, des agents blanchissants, hautement toxiques.
Laver blanc
Les phosphates contenues dans les lessives sont responsables de la prolifération d’algues toxiques qui asphyxient les rivières. La norme européenne impose un minima de 60 % de biodégradabilité des tensioactifs (Lire Lexique lessive). Certaines marques militant pour l’écologie comme Rainett qui fabrique ses lessives et nettoyants écologiques à partir de matières premières végétales et minérale, ont fixé la barre plus haute, plus « verte » à 98 % de biodégradabilité en 28 jours selon les tests normés de l’OCDE, les 2 % restants continuant à se dégrader dans le temps. D’autres comme Ariel Poudre Fraîcheur Alpine ou Dash 2 en 1, ainsi que la Lessive Concentrée de Leader Price ont remplacé les phosphates par les zéolites inoffensifs (aluminosilicate hydraté complexe de certaines roches volcaniques). Preuve que l’on peut laver plus blanc que blanc sans pour autant polluer. D’autant que je les trouve maintenant en rayon dans les magasins alimentaires traditionnels. Pourquoi m’en priver ?