S.O.S. bobos et petits maux à l’âme, le bon vieux « Tricosteril » toujours prêt à panser !
On a tous eu un « Tricosteril » sur le genou ! Enfant, c’était « le » pansement, le seul, l’unique. Il faut dire qu’il avait déjà soigné nos grands-pères à la guerre, puisqu’il a commencé à tisser » ses origines pour panser les soldats de tricots stériles !
Rayon bobos et cicatrices, Tricosteril est toujours et plus que jamais complice de douceur en cas de douleur, de toute la famille, des petits comme des grands !
Incontournable le pansement, pour panser les petits bobos pas graves. C’est comme un câlin, même s’il n’y a rien sur le genou de fiston, j’y colle un pansement et un bisou, ça fait passer la douleur à l’âme sensible. D’ailleurs, j’en ai toujours deux dans mon sac, pour pallier l’écorchure, l’accident de bricolage comme l’ampoule au pied.
La boîte à pansements
Alors il a évolué le pansement de Papy. Il y en a toujours la bande extensible couleur chair et plus pratiques, les boîtes de pansements prédécoupés de divers formats, simple ou ciblés bobos spécifiques, et il y a des patchs chauffants anti-douleur, et gage de beauté durable, il existe également des pansements « réducteurs de cicatrices » invisibles pour le visage et le décolleté, pour aplanir, lisser et éclaircir les cicatrices et leur assurer une protection contre le soleil des plus confortables.
Tous ces pansements, je vais les ranger dans la jolie « Bobobox » collector en métal mise en couleurs de façon vintage par le talentueux illustrateur Thomas Baas… Que je m’empresse d’aller récupérer à la pharmacie en achetant au moins deux produits Tricosteril, une édition limitée.
SOIN DES PETITES PLAIES
4 bons réflexes à adopter
Gare aux petites plaies souvent négligées, elles peuvent être sources de complications tout à fait évitable comme l’infection, le tétanos… En effet, dans la majeure partie des cas, il suffit de nettoyer, désinfecter et protéger efficacement la plaie à l’aide de produits adaptés. Pour partir en vacances l’esprit tranquille, je prépare donc une trousse de premiers soins, dans ma Bobobox Tricosteril, prête à dégainer et à agir efficacement. « Action, réaction ! » :
1. Nettoyer : Je lave la plaie avec de l’eau et du savon. Si fiston refuse que je touche sa plaie, je lui fait prendre un petit bain ou le douche et l’épreuve de force devient un jeu d’enfant.
2. Vérifier : Je m’assure qu’il ne reste aucun corps étranger (petit cailloux, grosse écharde…), si je vois que c’est enfoncé trop profondément dans la peau, je file chez le médecin pour qu’il les retire.
3. Désinfecter : J’applique une solution antiseptique (liquide, en spray, en pommade…). Certaines sont spécialement conçues pour les enfants et ne piquent pas. Si nécessaire, je demande conseil à mon pharmacien pour appliquer une crème contenant un antibiotique, un cicatrisant ou les deux.
4. Protéger : La plaie propre et sèche, je pose un « Tricosteril » dessus qui absorbe les sécrétions de la plaie, protège et maintient un degré d’humidité suffisant pour une cicatrisation dans de bonnes conditions. Je le remplace régulièrement.
À avoir également toujours sous la main, les kits unidoses d’antiseptiques et pour les sportifs les Patchs anti-bobos froid ou chaud…
Tricosteril : en vente en pharmacie depuis toujours !