On en parle beaucoup des Fleurs de Bach, c’est quoi au juste ?
« Pour être en bonne santé, il faut être en harmonie avec son âme. » disait le Dr Edward Bach.
Une méthode anglaise
C’est au début du 20e siècle que ce médecin anglais découvrit un ensemble de 38 fleurs sauvages traitant l’ensemble des états émotionnels humains : doutes, manques d’intérêt, peurs, relationnel difficile, solitude, tristesse et vulnérabilité. Généreux initiateur d’une nouvelle méthode, douce et simple, d’extraction par la chaleur des principes d’énergie contenus dans ces fleurs, il n’a jamais déposé de brevet, permettant ainsi à sa méthode d’être utilisée par le plus grand nombre. «Fleurs de Bach» est donc une appellation générique. Aujourd’hui, plusieurs sociétés en Europe fabriquent et commercialisent des Fleurs de Bach.
Dans les pas du Dr Bach
Fondateur de Fleurs Essences et Harmonie, Gérard Wolf crée de ses propres mains depuis 20 ans des élixirs composés, des parfums d’ambiance et des eaux de parfum aux 38 Fleurs de Bach, dans le respect rigoureux de la méthode originale du Dr Bach : une cueillette artisanale de fleurs sauvages, essentiellement récoltées en France au fil des saisons, un process strict de solarisation ou d’ébullition, et une adjonction de Cognac bio à 40° à part égale avec l’eau florale.
En mars dès les premières floraisons, Gérard est allé récolter la fleur d’Orme champêtre qui sert à retrouver ses capacités de confiance en soi quand on se sent brusquement submergé, puis la fleurs de Prunus Cerasifera qui sert principalement à ne pas perdre le contrôle de soi, ainsi que l’essence du Peuplier Tremble qui régule les peurs vagues et angoisses inexpliquées…
Naisance d’un élixir
Jemesensbien a suivi Gérard Wolf en Bretagne cueillir artisanalement la fleur d’Orme épanouie avant sa pollinisation. Il suffit de 300 à 500 gr de petits rameaux fleuris pour faire 3 litres d’essence-mère d’Orme, sachant qu’on utilise 4 ml dilués dans un litre d’alcool (afin d’être conservé indéfiniment) et que pour se traiter 3-4 gouttes seront ensuite diluées dans un verre d’eau. Il faut également de la bonne eau de source naturelle (3 litres), celle qui jaillit seule de terre, de qualité, dénichée en pleine forêt, dans laquelle Gérard a fait infuser les rameaux pendant 30 minutes. 50 % de l’eau s’est évaporé. Il a alors retiré délicatement les branchages sans y mettre les doigts, laissé refroidir, filtré pour en recueillir le filtrat auquel il a ajouté l’alcool bio conservateur. Du « fait maison », tout un art !
Tant de naturel et d’amour à le faire, ça ne peut qu’apporter réconfort et bien-être.
Je retrouve ces élixirs sur le site.